Salut tout le monde. Comme, en théorie ( je dit bien enthéorie ^^) tout le monde aime bien ce qui est fantastique, je vous met le début de mon roman. Dites moi ce que vous en pensez.(faites gaffe il est super long le premier chapite je vous prévient lol)
Chapitre 1 : Un mariage qui tourne court
Une planète encore inconnue en France, le Garanou, était une planète en paix depuis de nombreux siècles. Mais l’Empire de Seignosse, un empire où des créatures monstrueuses, les capucheurs, dominaient d’autres races déjà vaincues par cette empire, attaqua sans aucune raison celui des hommes de Arnod, et ses alliés les magicien du peuple Oirior, et celui de Qhor, le pays où vivent les nains. Je vais raconter cette histoire.
Tout commença la cinquième année du troisième age. Le roi d’Arnod, Agrigim, va se marier avec Cremia, une jeune femme née de la petite bourgeoisie arnodoise. Tous ses amis étaient présent : Holotro, le roi de Qhor, Mitjo, le roi magicien de Oirior, Agos, son premier conseiller et Pedro, le prince de l’alliance AQO, qui regroupe les trois pays précédents. D’autres personnes peu connues de Garanou était présente. Il y avait notamment sa famille et d’autres amis, ainsi que le roi des pays alliers. La fête promettait d’être belle.
Tout le monde était là. La fête pouvait commencer.
La dame d’honneur, la sœur de Cremia, entra dans la chambre de cette dernière, un verre d’eau à la main. Elle est assez grande, ses cheveux sont de la couleur de l’ébène qui contraste fortement avec sa peau aux limites du blanc. Elle a de petits yeux marron et les pommettes saillantes. Elle demanda :
-Désirez vous quelque chose, très chère ?
-Arrête, Salvinia, tu sais très bien que j’ai horreur que tu me vouvoies. Tu est ma sœur, qu’en même. Déjà que j’ai horreur qu’une servante me traite ainsi, alors ma famille…
-Je fais ça pour détendre l’atmosphère, princesse, dit-elle d’un ton ironique. La pression que tu as en toi est presque à couper au couteau. Bois un coup d’eau.
-Non merci, ça ira. Merci de t’occuper de moi. C’est juste que je veux que la fête se passe le mieux possible.
-Bon, ce n’est pas le tout, mais dépêche toi de mettre ta robe. Agrigim est intenable, d’après ce que me dit Holotro. Tiens, la voilà.
Après que Salvinia eut dit ces mots, une personne toqua à la porte. Malgré les remontrances de sa sœur, Cremia autorisa la personne à entrer dans sa chambre.
L’inconnu n’était autre que le roi oirioriens. Il avait la peau légèrement matte, ce trait génétique étant issus de sa famille. Il était grand, assez maigre et ses bras musclés ressortaient malgré sa chemise assez large. Ses cheveux étaient bruns et ses yeux noirs, d’un noir sombre assez mystérieux. Il annonça à la reine des hommes :
-Cremia, j’ai une proposition à te faire.
Quelques minutes plus tard. La foule faisait place autour de l’allée où devait passer le carrosse. Agrigim ne tenait plus en place. A force de se morde les lèvres pour se détendre, un filet de sang coulait autour de son menton. Il n’y fit même pas attention.
Une heure passa. Toujours personne. Il manquait même Mitjo. La panique emporta les habitants. Ils avaient disparu.
Soudain, une fusée éclata. En explosant, la tête de la future reine des humains apparut en bleu, puis en blanc, et pour finir en vert. Tout d’abord, les convives crurent à un complot. Mais, comme pour stopper les angoisses des invités, Mitjo apparut dans un carrosse conduit par deux hommes torse nu et musclés. Les filles hurlèrent devant l’arrivée des conducteurs. Mitjo se décala et une femme magnifique se trouvait derrière. Elle avait les cheveux bruns et les yeux bleus, d’un bleu intense. Ses formes étaient généreuses et sa robe mettait en valeur ses atouts. Agrigim s’approcha puis prit sa femme dans ses bras. Un léger sourire apparut sur les lèvres des jeunes mariés. Ce fut le moment tant attendu depuis plusieurs années. Les amoureux ne pensait plus à rien, juste eu moment présent. Ils s’embrassèrent longtemps, d’un baiser intense. Les convives applaudirent. Ca et là, des femmes pleuraient d’émotion. Des sifflements d’admiration fusaient de toutes parts, venant aussi bien des magiciens, des nains de jardin que de toutes autres races.
Ensuite, les amoureux partirent vers le temple de Frère Garti, un des prêtres les plus réputés. C’était un homme dont la vie était assez avancée. Son crâne dégarni laissait entrevoir une tache de naissance au sommet de la tête. Il était par ailleurs de petite taille et il avait un léger embonpoint. Il est considéré comme un maître pour ses pairs et comme le descendant du dieu du soleil, le dieu vénéré de Garanou. Il les bénit pour la fin de leur jour et pour les générations à venir. En Garanou, c’est un rituel pour les mariés. Cela leur promet prospérité et de nombreux enfants. Ce rituel intervient dans les premiers écrits recensé depuis se jour. Selon la légende, ce fut le dieu du soleil lui-même qui apparut aux premiers mariés de l’histoire, le légendaire Grip, le meilleur guerrier n’ayant jamais existé, et une simple paysanne. Depuis ce jour, à chaque mariage, tous les prêtres font ce rituel.
Ensuite, tous les invités furent conviés à un banquet. Les plats étaient tous plus bon les uns que les autres. Il y avait plusieurs sangliers éventré dans lesquels les nains taillaient les meilleurs morceaux, des biches, plats préféré des magiciens par le raffinement de la viande, et toutes sortes de légumes mijotés avec le jus des viande en sauce, tel que le bœuf ou le lapin, spécialité des charvanes, un peuple d’intellect assez doué pour le combat dont le cerveau est cinq fois plus grand que celui des hommes. Ils ont des griffes longues de plusieurs dizaines de centimètre et se sont d’ailleurs leurs seules armes, toutefois très efficaces. Ce peuple a été conquit par les arnodois pendant une guerre appelée Guerre du peuple. Ce nom est un hommage fait par le roi vainqueur au peuple charvane, qui s’était défendu avec bravoure et courage contre le peuple le plus influent de l’époque, et dont l’armée était réputée imbattable. Elle dura plusieurs dizaines d’années, années durant lesquelles les villageois résistèrent aux assauts incessants.
La fête battait son plein. Cependant, une chose interpella Agrigim : son prince, Pedro, ne semblait pas joyeux. Pire encore, il faisait grise mine. Agrigim lui demanda seul à seul :
-Qu’est ce qui te tracasse, Pedro. Si il y a un problème, tu peux me le dire à moi, ton vieil ami. Tu peux tout me confier.
-Je vais pour le mieux, Agrigim. Ne t’inquiète pas pour moi. Va donc t’amuser à ta fête. Je viendrais te rejoindre très bientôt.
Agrigim, qui avait une entière confiance en son prince et ami, parti. Cependant, il savait que Pedro avait quelque chose qui le tourmentait, mais il n’arrivait pas à savoir quoi. Tant pis, pensa-t-il. Il faut que j’aille profiter de mon mariage.
Il dansa toute la nuit avec Cremia. Tout autour, les personnes dansaient et chantait. Mais ce qui le faisait rire, c’était que ses amis Holotro et Mitjo faisait la coure aux jeunes femmes dans la salle. Aussi bizarre que cela puisse paraître, les deux autres rois n’avaient aucune fiancée, même pas une petite amie. Pourtant, beaucoup de femme aurait rêvé se marier avec eux, mais les amis ne voulait pas de personnes qui voulait se marier avec eux pour le trône. Aussi, ils attendaient depuis très longtemps mais ils savaient que le moment viendrait où eux aussi se marieront.
La fête se déroula toute la nuit, et plus encore même. Quelques personnes étaient parties, trop fatiguées pour continuer de danser. Puis vint le moment où Mitjo avait prévu de faire son feu d’artifice. Une fusée en fut le signal.
Déjà, tous les invités se ruaient dehors, à la recherche de la meilleure place. Le spectacle fut magique. Des explosions magiques multicolores fusaient dans le ciel pour donner des couleurs magnifiques. Cela passait du rouge orangé au jaune vert en passant par le bleu, le violet. Il y en avait pour tous les goûts. Même Agrigim n’en avait jamais vu d’aussi beau. Pourtant, il en avait vu des nombreux faits par les plus grands magiciens de Garanou. Comme pour conclure son spectacle, il matérialisa la tête de Cremia puis celle de Agrigim. Lentement, il fit glisser les deux images et il les fit s’embrasser. Au contact des lèvres, les dessins explosèrent, donnant la plus belle des couleurs. C’était un mélange de bleu, de vert, de jaune, de orange, de rouge, de rose, de violet, de noir. En bref, de toutes les couleurs possibles. C’était magnifique.
Quelques heures plus tôt, à Jadraja. Tous les habitants de cette ville de taille moyenne s’affairaient à leurs tâches habituelles. Les quelques gardes qui défendaient la cité machinalement, par question de sécurité, commençaient à s’assoupir légèrement quand soudain, un d’entre eux s’écroula, une flèche dans le ventre. Les autres eurent à peine le temps de comprendre ce qui se passait qu’une flèche les toucha eux aussi, cette fois en plein coeur. Personne ne pu sonné l’alerte. La tactique était imparable. Peu à peu, l’embuscade se prépara. Des capucheurs se faufilaient près des murailles. Puis le combat commença.
Un rocher alla se briser contre la porte, détruisant celle-ci. Dès lors, une horde de capucheurs entra dans la cité. Les quelques soldats sur le sol se firent massacrer. Toujours aucune perte pour le mal. Des narforts, une race ressemblant beaucoup aux nains, se ruait dans les habitations et massacraient tous les occupants. Les nanarfims, armés de leur arc, tuaient les habitants qui traînaient dans la rue. Sous l’effet de surprise, les seignossans n’eurent aucune perte et le combat était déjà bientôt fini. Plusieurs ogres, qui étaient à l’origine du rocher lancé sur la porte, détruisaient les habitations, laissant les locataires écrasés sous les décombres. Personne n’avait prévu cette attaque, pas même les plus grand spécialiste. Les 2 empires étaient même en voix d’alliance économique. Les trois peuples qui cohabitaient ensemble avaient placé des gardes en préparation à une éventuelle guerre contre les pirates de l’archipel Saliné, un groupe d’une dizaine d’île gouverné par un pirate redouté de tous les marins.
En attendant, la bataille faisait rage dans la ville. Les soldats du mal étaient mieux armés et surtout préparé à l’attaque, contrairement au villageois qui se faisaient massacrer. La bataille était perdue d’avance et, déjà, des habitants fuyaient par derrière pour éviter le massacre. Mais c’était sans compter sur la ruse des capucheurs qui les attendait. La bataille ne dura que quelques dizaines de minutes et s’acheva par la défaite des hommes. Aucune perte pour les seignossans, les habitant de l’empire de Seignosse, plusieurs centaines pour le bien. Cela donnait le ton des combats à venir.
Le lendemain. Alors qu’il recevait son courrier, Agrigim vit une lettre écrite de la main de leur prince pour lui-même. Il s’empressa de la lire :
Agrigim,
Je suis sincèrement désolé de devoir t’annoncer cette nouvelle mais tu dois partir à la guerre. En effet, le Seignosse nous a déclaré la guerre. C’est pourquoi je te demande de mobiliser tes troupes pour aller combattre le mal avant qu’il ne fasse des ravages. Mais attention, il est revenu plus fort que jamais, c’est pourquoi je te demande d’être très attentif à toutes sorte de bruit et d’être très discret. C’est pour cela que j’étais tendu hier, mais je ne te l’a pas dis car je ne voulais pas ruiner ton mariage. Demande aussi à Mitjo et Holotro de t’accompagner. Bonne chance !
En te remerciant d’avance
Le prince Pedro
En voyant cette lettre, Agrigim était bouleversé. Comment allait-il pouvoir l’annoncer à sa femme ? Comment allait-elle réagir ? Il décida donc de lui en parler maintenant, car, tel qu’il la connaissait, elle s’en rendra compte d’ici quelque heure
Fopoin entra. Devant lui se trouvait Holotro, le roi nain de jardin. Holotro est un nain de jardin de grande taille. Il a une forte carrure et fait parti des nains de jardin les plus musclé de toute leur existence. Il n’a peur que de deux choses : les boudins marteaux et les ogres des montagnes, car il est trop petit pour les attaquer. Il demanda :
« Que veux-tu ? Je suis en réunion. Pourquoi ces imbéciles t’on t-il ouvert ?
-Non, ne les gronde. C’est moi qui aie insisté, Ô grand roi...
-Bon va droit au but.
-Voilà. Le roi humain dit qu’il a quelque chose de très urgent à vous communiquer.
-Agrigim ! Ah, qu’il entre. »
Sur ce, il fit le chemin inverse en passant par un toboggan. En une demi-minute, il se trouva en bas et s’empressa de dire :
« Vous pouvez entrer. Notre roi vous attend. »
Sur ce, Fopoin sorti une clé de quelques dizaines de centimètre d’un coffre gardé de 5 nains de jardin et avec trois codes que seul le roi et son premier conseiller connaissaient. Il la prit puis ouvrit la grande porte.
Là, Agrigim contempla avec toujours le même étonnement les magnifiques sculptures naines. Agos, qui n’était jamais venu dans la capitale, resta muet d’admiration. En effet, tout le long de l’allée principale se trouve les statues des 76 rois précédents. Il y a aussi des fontaines taillées avec une minutie incroyable. Elle représente les livinis, des créatures sacré pour les nains. Elles mesurent de presque deux mètres et pèse à peines plus de 40 kg. Elles ont une grâce inhumaine et une beauté inégalable. Elles sont devenues bénies depuis qu’elles ont sauvé Loloc III, un ancien roi nain de jardin et ses gardes du corps du roi de la noyade. Pourtant, les nains de jardin les persécutaient et étaient justement en train de vouloir en tuer quelques un.
Les qhoriens sont réputé pour être les meilleurs tailleurs de pierre et les meilleurs bijoutiers de tout Garanou.
Après avoir parcouru plusieurs kilomètres, il se trouva devant un vaste château que les qhoriens appellent « La Grande Demeure. »C’est la que vit et que siège le roi des nains. Les gardes les laissèrent passer puis, après avoir toquer plusieurs fois, il entra
« Ah !!!!!!! Holotro !
-Agrigim ! Pourquoi es tu venu me rendre une aussi agréable que surprenante visite.
-Notre planète est attaquée par le mal et Jadraja, une ville sans histoire, a été brûlée et ses habitants ont été massacrés sous les lames des capucheur et je ne doute pas que le mal récidive. C’est pourquoi je demande ton aide pour m’aider à combattre le mal, comme l’a si bien écrit le prince dans la lettre que voici. »
Sur ce, il lui présenta la lettre et Holotro s’empressa de la lire. Fopoin, derrière lui, lisait la lettre. Il ne put s’empêcher de faire une remarque :
-Si ce n’est que ça. J’y vais tous seul si vous voulez. En plus, j’ai toujours bien aimé un capucheur en sauce.
-Fopoin, arrête, lui ordonna Holotro d’une voix calme menaçante.
-Tu n’aimes pas ? Tu devrais en goûter un en conserve, c’est les meilleurs et…
-Arrête.
-Du calme, tu devrais te reposer un peu.
-Non, je vais très bien. Excuse moi, Agrigim, il est agacent en ce moment. Où est Agos ?
-Il a rencontré un ami d’enfance. Il arrivera plus tard. Es-tu d’accord avec ma proposition ?
« Oui, mais laisse moi faire faire visite la cité à Agos et faire un combat avec toi.
-J’accepte volontiers. »
Jeu 29 Avr - 2:23 par Invité
.............................................................................................. 
